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Alfred Tomatis, oto-rhino-laryngologiste.

Fondateur de la méthode Tomatis 

Effets Psychosomatiques

Un lien entre des zones de fréquences et la vie physique, intellectuelle et spirituelle de l’être humain.

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Des plages de fréquences sonores particulières auraient une influence ciblée sur des fonctions cérébrales distinctes.



La zone de 125 à 1 000 Hz est celle qui se rapporte au corps et à l’inconscient, avec des zones très définis (sexualité, colon, etc.). De 1 000 à 2 000 Hz, c’est la zone du langage et de la communication. De 2 000 à 8 000 Hz, il s’agit d’intuition, d’idéal, de spiritualité.
 

 

 

Il existerait une complicité du corps pendant l’écoute.

 

 

Il "établit que les caractéristiques musicales doivent correspondre aux caractéristiques psychiques du patient…​
Le tempo d’une musique peut ainsi influencer directement les fréquences cardiaque et respiratoire de l’auditeur."











Une même musique agit de manière différente sur les organes du corps humain tout comme sur les fonctions corporelles.

Découverte  des correspondances vibratoires entre les sons et le corps humain.


Chaque partie du squelette humain réagit donc spécifiquement à des fréquences identiques à leur fréquence de résonance.



Le corps est une membrane, les ondes acoustiques s’y propagent et y résonnent comme dans une oreille.

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Le silence serait donc une nuisance au même titre que le bruit.

 

Rolando Omar Benenzon, psychiatre et psychanalyste.

Fondateur du Principe de l'Iso

Marie-Louise Aucher, musicienne et cantatrice.

Fondatrice de la psychophonie

Etude sur l’évaluation du temps de réaction par rapport à l’urgence des sons d’alarme, 2008, Clara Suied et Patrick Susini.

 

Les expériences ont montré que le temps de réaction diminuait proportionnellement avec la diminution de l’intervalle de temps écoulé entre le début d’un son et le début du suivant.


Elles ont aussi montré que l’irrégularité temporelle entre les signaux sonores (intervalle de temps écoulé entre chaque son variable) pouvait capter l’attention d’un auditeur.

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Les jugements subjectifs de l’urgence d’un son d’alarme sont affectés par les paramètres acoustiques.
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Les régions activées pendant le « frisson musical Â» sont celles du « circuit de la récompense », les mêmes que lors d'états euphoriques induits par le chocolat, le sexe ou la drogue.


Selon l’étude de l’Université de Montréal, la musique utilise ainsi l’ensemble de circuits du cerveau qui dirige la motivation de l’homme avec un système de récompenses chimiques.

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​Ecouter un de ses morceaux favoris déboucherait alors sur une injection de dopamine dans ces circuits, avec un résultat proche de celui qu’on obtient en consommant une drogue tel que la cocaïne.​
 

 

 "Le frisson musical "

Etude canadienne de neuro-imagerie, réalisée par Anne Blood et Robert Zatorre.

Design Sonore //

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